Verse 1: F#m Voici l’heure où les cils ne font qu’un trait. F#m Corps entrelacés, d’autres esseulés. F#m A l’heure où les esquisses et les secrets marquent les visages – à dix-huit ans d’âge. D Quand la lumière s’étire encore, F#m Tant que le vent porte mon sort,
E Tu souris sans détour. D Un amoureux venu des morts F#m S’est mis à danser et mes pas E L’ont suivi sans retour. Pre-Chorus: D Embrasse l’aube un peu, F#m Embrasse l’aube de tes cheveux. E Lâche les chevaux de ton désir - le vent se lève. D Quitte à laisser ton dernier soupir F#m Accueille l’élan de l’aube, E Du haut de tes lèvres – Accueille l’aurore et la courbe de nos corps. Chorus 1: F#m D E E Ah aha ouh ouh F#m D E E Ah aha ouh ouh Verse 2: F#m Voici l’heure où la ville est en retrait. F#m Pas un bruit dehors. Une feuille dort. F#m Où sont passées les failles de ces noms, près de ton visage, collé au virage ? D Quand la lumière s’étire encore, F# Tant que le vent porte mon sort, E Je te suis sans retour. D Quand ta main s’ouvre et me découvre, F# Je vois la beauté de tes liens E nous, nos gestes, bercent le jour. Pre-Chorus: D Parle-moi de tes rêves. F# Parle-moi tant que la nuit est brève. E Parle-moi sans compter la mesure de chaque phrase. D Quitte à laisser ton dernier soupir F# Accueille l’élan de l’aube, du haut de tes lèvres E Accueille l’aurore ! Et la courbe de nos corps. Chorus 2: F#m D E E Ah aha ouh ouh F#m D E E Ah aha ouh ouh Verse 3: D Qui aurait cru qu’un seul regard, F# pouvait soulever des millions de pluies, E des lambeaux de mots où plus rien n’est rare ? D Qui m’aurait crue tourner de joie, F# À l’heure où personne ne peut nous voir ? E Comme une enfant sur le trottoir. Chorus 3: F#m D E E Ah aha ouh ouh F#m D E E Ah aha ouh ouh
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